Bayrou à Mayotte pour promettre des sommes colossales d’argent blanc

La Rédaction
Démocratie Participative
30 décembre 2024

 

Le cauchemar mahorais ne fait que commencer.

Tout le régime se livre à une surenchère d’annonces pour noyer cette île islamique de montagnes de cash.

J’en ai la nausée.

De son côté, CNews menace les honnêtes Blancs.

Elle dénonce la gauche raciste qui empêche la création d’un paradis afro-musulman sur cette île infernale et assure que les babouins mahorais sauront exiger ce que nous leur devons.

Des créatures à nom français au profil racial indéfinissable crachent avec véhémence leurs exigences.

Bayrou est averti.

Quand il ne s’enflamme pas à propos de l’antisémitisme, le Libanais Brelet exige que les Blancs continuent d’arbitrer les embrouilles intra-comoriennes à fonds perdus.

Un homme, seul, a rompu cet effroyable délire collectif en rappelant les froides réalités raciales.

La fièvre mahoraise n’est qu’un épisode de la fièvre coloniale, qui n’est elle-même que l’expression de la négrophilie pathologique de la société française, irriguée de christianisme humanitaire et toujours en mal de ratés à sauver contre toute raison logique.

Nous n’avons pas affaire à des gens rationnels, mais à des religieux et sauver le nègre de lui-même est leur sacerdoce, leur raison d’être. Tenter de les en dissuader est moins risqué que de saisir un os de la bouche d’un pitbul affamé.

Cette spirale mahoraise risque d’être la goutte d’eau qui va ironiquement engloutir la France.

Un jour ou l’autre, un milliard, le milliard de trop, fera tout sauter.

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