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La rédaction
Démocratie Participative
22 juillet 2022
Ostende, c’est un peu le Deauville de la Flandre belge.
Bon, c’est pas magique, mais pour les standards de la Mer du Nord, c’est ce qui se fait de mieux.
Depuis le 19e siècle, les Belges allaient passer leurs vacances là-bas en famille.
Et puis, l’enrichissement culturel démocratique a fait puissamment monter le niveau de confort, d’harmonie et de charme.
De multiculturele « verrijking » aan het werk twee dagen geleden op de trein Oostende-Brussel… Wanneer gaat iedereen eens inzien wie de boel hier verziekt? pic.twitter.com/EJpt5AXFfD
— Tom Van Grieken (@tomvangrieken) July 21, 2022
Van 1985 tot 2005 heb ik elke zomer opnieuw een volle maand – juli of augustus – aan onze mooie Vlaamse kust vertoefd. Dit heb ik er toen nóóit gezien! 👇🏻 pic.twitter.com/963uLiQEJD
— Sam van Rooy 🖤💛 (@SamvanRooy1) July 20, 2022
Ostende pendant le génocide par substitution, également connu sous le nom de Grand Remplacement, dans lequel les Belges de souche sont remplacés par des migrants musulmans majoritairement afro-arabes. #Oostende #Omvolking pic.twitter.com/buDFh5gyB8
— RedPilled Belgium 🇧🇪 (@RedPill_Belgium) July 20, 2022
Casablanca of Oostende?
We worden vreemdeling in eigen stad 🤮 pic.twitter.com/4GHMBwMDdI— Dré 🖤💛💔 #nietmijnregering! (@Dreetje8400) July 19, 2022
Apparemment, le nettoyage ethnique à grande échelle n’est toujours pas au menu pour l’envahisseur.
En revanche, il est d’actualité pour les autochtones.
