Djokovic révèle avoir été empoisonné par les covidistes lors de l’Open d’Australie 2022

La Rédaction
Démocratie Participative
10 janvier 2025

À ce stade, les démocraties sont gérées par l’équivalent occidental du KGB.

Le Parisien :

La star serbe du tennis, Novak Djokovic, est revenue jeudi sur certains soucis de santé survenus en 2022. Le n° 1 mondial affirme avoir été « empoisonné » cette année-là, alors qu’il était en détention en Australie avant de se faire expulser du pays sans pouvoir participer à l’Open, faute de s’être fait vacciner contre le Covid-19.,

« J’ai eu des soucis de santé. Et j’ai réalisé que dans cet hôtel de Melbourne (où il était détenu) on m’a donné de la nourriture qui m’a empoisonné », a-t-il avancé, dans une interview publiée jeudi sur le site du magazine GQ. « J’ai découvert des choses en rentrant en Serbie. Je ne l’avais jamais dit publiquement, mais j’ai découvert des taux élevés de métaux lourds ».

Dans son organisme, Djokovic a assuré avoir découvert « du plomb, un niveau très élevé de plomb et de mercure ». « J‘étais très affaibli, même dans les jours qui ont suivi », a-t-il indiqué. À la question de savoir si la contamination était d’origine alimentaire, le Serbe a jugé que c’était « la seule explication » envisageable. Celui qui tentera de gagner un 25e tournoi, à l’Open d’Australie, avait créé la polémique il y a quelques années, en refusant de se faire vacciner contre le Covid-19.

Début 2022, après son arrivée sur le territoire australien pour y disputer le premier Grand Chelem de la saison, son visa avait été annulé. Après avoir été placé en détention, Djokovic avait finalement été expulsé d’Australie et n’avait pu disputer le tournoi, qu’il a toutefois remporté pour la dixième fois, un an plus tard, en 2023.

En conférence de presse, Djokovic a refusé vendredi de commenter son interview à GQ et souligné qu’elle avait été réalisée « des mois » plus tôt. « Je voudrais me concentrer sur le tennis », a-t-il déclaré. Interrogé sur les déclarations du joueur, un porte-parole du ministère australien de l’Intérieur a refusé de commenter, invoquant la « confidentialité » des cas individuels.

À l’époque, le système avait été pris de panique.

Il redoutait qu’une figure aussi populaire que Djokovic n’entraîne un mouvement de résistance généralisée au régime de terreur covidiste, à commencer chez les sportifs.

Les sportifs sont cependant des gens généralement dépourvus de courage qui ne pensent qu’à leurs sponsors.

Le système australien a pris toutes ses assurances en empoisonnant Djokovic pour s’assurer qu’il ne participe pas. Si cela se passait aujourd’hui, il l’assassinerait probablement en l’accusant d’être un agent russe.

L’Australie était un des états covidistes les plus fanatiques. Tout le monde se rappelle de ses camps de concentration dans le désert pour châtier ceux qui refusaient de se faire empoisonner par le juif Bourla.

Djokovic avait surgi dans ce pays en défiant ce régime.

Les Australiens avaient explosé de rage face à la détermination du héros serbe à ne pas se laisser empoisonner.

Quel pays d’homosexuels.

Aucune personne participant à l’Open d’Australie ne bénéficiera d’un traitement spécial ».

Le Premier ministre australien, Scott Morrison, déclare que Novak Djokovic prendra le « prochain avion pour rentrer chez lui » s’il ne fournit pas de « preuve acceptable » d’une exemption médicale de la piqûre Covid.

Le pire cependant est venu de la petite frappe ibérique Nadal.

Ce perdant avait exploité la situation pour pousser à la disqualification de Djokovic.

Nadal est désormais en retraite tandis que Djokovic établit sa suprématie historique avec déjà deux tournois de plus en Grand Chelem et, espérons-le, davantage à l’avenir.

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