Géorgie : battue aux élections, la sorcière de Macron prétend rester présidente après la fin de son mandat demain

La Rédaction
Démocratie Participative
28 décembre 2024

 

En Géorgie, la traînée pro-OTAN battue aux élections présidentielles a décidé que le résultat ne lui plaisait pas et qu’elle resterait présidente.

Cette vieille pute a des papiers français et Macron s’en sert pour fourrer son nez dans ce pays perdu du Caucase.

Ces élections étaient supervisées par l’OSCE, une organisation internationale qui comporte tous les états occidentaux. Elle a conclu que la fraude a été trop marginale pour invalider les résultats.

Légalement, elle doit dégager le 29 décembre, c’est-à-dire demain, mais elle veut squatter le palais présidentiel indéfiniment.

Le nouveau chef du gouvernement a répondu qu’elle irait en prison si elle décidait de trahir pour le compte de l’OTAN.

⚡- Le Premier ministre Kobakhidze déclare que si Zourabichvili refuse de partir le 29, « elle fera l’objet de poursuites pénales ».

Il y a quelque chose d’indiciblement exaspérant chez une vieille femme qui s’accroche à un fauteuil comme une sorcière.

Elle n’a obtenu la nationalité géorgienne qu’en 2004. Avant cela, c’était un agent de l’OTAN qui opérait au Quai d’Orsay.

C’est un simple agent d’influence que les juifs veulent placer à la tête de la Géorgie pour en faire une tête de pont contre la Russie. Cela impliquerait la destruction économique puis militaire du pays.

Pour y parvenir, la démocratie procédurière ne s’embarrasse pas des élections dont elle fait si grand cas.

Haddad, le salarié de la CIA désigné numéro 2 des Affaires étrangères, a rappelé que les goyim n’ont pas leur mot à dire et que la Géorgie ne devrait pas se défendre face à un coup d’état en cours.

De son côté, le juif Zelensky dont le régime s’effondre de partout appelle à la guerre contre la Géorgie libre.

Je suis reconnaissant aux États-Unis d’avoir pris une mesure forte en faveur du peuple géorgien et de l’ensemble de notre région, à savoir les sanctions contre Bidzina Ivanishvili.

Ce dernier est aujourd’hui le dirigeant de facto de Tbilissi et fait tout pour que la Géorgie passe sous le contrôle de Poutine. La perte d’un pays de notre région, la destruction de la démocratie d’une nation et la propagation de l’influence criminelle de la Russie constituent une menace pour l’ensemble de la région et tous ses peuples.

L’Ukraine a déjà mis en œuvre un ensemble complet de sanctions à l’encontre d’Ivanichvili et des principaux membres de son groupe mafieux. Aujourd’hui, une autre action décisive s’impose : les sanctions sévères de l’Amérique. Nous appelons tous les partenaires européens et tous les partenaires mondiaux qui attachent de l’importance à la vie normale et à la liberté des nations à imposer des sanctions similaires à M. Ivanichvili, afin qu’il comprenne le prix à payer pour détruire l’indépendance de son pays et humilier le peuple géorgien.

Nous pensons qu’aucune mafia ne pourra voler le rêve du peuple géorgien de vivre librement au sein de la famille des nations libres, au sein de la communauté européenne.

La presse du régime macroniste persiste à l’appeler « présidente » en vue du putsch.

La solution légitime serait de faire juger cette traîtresse par un tribunal révolutionnaire puis de l’exécuter dans la cour du palais.

A priori, il faudra se contenter d’une arrestation.

Reste qu’il faut espérer qu’elle soit empoisonnée dans sa cellule pour que les traîtres potentiels comprennent ce qui les attend.

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