La juive Anne Sinclair éplorée face à la rébellion des goyim

La Rédaction
Démocratie Participative
06 janvier 2025

 

Les citations font souvent gay, mais en l’occurrence c’est une bonne citation

En France, et dans les démocraties en général, il faut comprendre le juif et le fonctionnement de sa cervelle. Si vous ne comprenez rien au juif, vous resterez éternellement dans l’obscurité dans votre propre pays.

De nombreux Français ignorent que leur pays est contrôlé par les juifs. Ce serait d’ailleurs plutôt un envoûtement car c’est bien l’esprit et les réflexes des Français que les juifs ont méthodiquement conditionnés depuis plus de 150 ans.

Les Français ignorent pourquoi ils sont soumis à des lois de censure antiraciste et ils ignorent tout autant que ces lois sont en réalité des lois raciales en négatif conçues contre eux, les Blancs. Ils n’en connaissent pas l’origine, ni la finalité réelle, et se contentent de répéter depuis l’école primaire que le racisme et l’antisémitisme sont mal.

La conquête du pouvoir par les juifs en France est exactement parallèle à la mise en place de l’antiracisme comme arme d’éradication des Blancs.

Tout remonte à la pseudo « Affaire Dreyfus », du nom de cet officier de l’armée française d’origine juive qui espionnait pour le compte des services secrets allemands.  Sur fond de tensions géopolitiques croissantes avec l’Allemagne, la France de droite, monarchiste et catholique, était en déclin au plan intérieur. La proclamation de la république avait permis aux juifs d’acquérir un formidable pouvoir politique que ces immigrés de fraîche date mettaient au service de la destruction systématique de la culture française pour mieux la supplanter par la leur. Une culture cosmopolite, déracinée, racialement hostile aux indigènes.

Quand l’affaire éclata, le bloc nationaliste désigna légitimement le juif Dreyfus comme le symptôme d’une conspiration juive plus large.

L’affrontement entre la gauche républicaine et la droite monarchiste se cristallisa autour d’une question simple : pour ou contre la juiverie ?

Cette question en entraînait une seconde : qui commande, les juifs ou les Français de souche ?

Sur fond de haines recuites issues de la Révolution française, la gauche opta pour la dictature juive. Elle fut d’ailleurs assez vite rebaptisée « dictature du prolétariat » par les adeptes du juif Marx.

En sauvant le juif Dreyfus, le régime républicain donna l’ascendant moral et politique à la juiverie organisée dont le régime républicain devint son régime.

La première guerre mondiale tomba à point nommé pour faire mourir en masse les meilleurs éléments de la race française et ne laisser aux commandes que les juifs et leurs associés démocrates. Fermement à la tête de la France, les juifs ouvrirent les vannes de l’immigration dès 1919. Ces masses vinrent gonfler le parti de l’étranger répartis en une myriade de partis de gauche.

Depuis, la France est juive, « Républicaine » dit-on en langage codé pour la plèbe, et sa raison d’être est : la France aux étrangers !

Le résultat de cette politique juive méthodique, tenace, sourde, vous l’avez dans les rues.

Tout devait durer ainsi jusqu’à ce que les derniers autochtones disparaîssent quelque part dans une réserve d’Auvergne.

Mais l’histoire est espiègle.

Par un retournement dialectique, les juifs sont désormais la classe dirigeante assiégée. Mélenchon a fait sauter ce statu quo historique en mobilisant une partie de la gauche contre les juifs sous le poids du vote musulman et ce au nom de l’antiracisme dont la juiverie avait le monopole contre les Français depuis Dreyfus.

Les juifs sont sidérés de cette défaite sans précédent.

Anne Schwartz (« Sinclair ») a bien résumé la situation, se lamentant du désastre.

Les juifs contrôlaient la France par la victimisation perfide et l’antiracisme légal et médiatique. Ce capital s’évapore rapidement et la religion de l’holocauste n’a plus l’effet sédatif qu’il avait sur les générations de goyim précédentes.

La panique n’est pas limitée aux juifs. Depuis 1945, les bourgeoisies démocrates voient dans le juif la source de l’omnipotence. Si le juif vacille, elles vacillent avec lui.

L’inquiétude atteint un niveau critique.

Pour le non-juif, ces appels à la mobilisation derrière 450,000 juifs sur une France de 68 millions d’habitants a un effet inverse à celui escompté. Il réalise que les élections n’ont aucun effet sur sa condition objective, puisqu’il est activement boycotté au parlement s’il vote RN ou gauche radicale, tandis que les juifs ont priorité absolue en toute matière, au plus haut niveau et ce publiquement.

Les juifs sont à court de ficelles.

Contre la censure

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