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La Rédaction
Démocratie Participative
27 décembre 2024
Pas de remboursement
En tant que prodige du scam, Musk est naturellement devenu le roi des Indiens. Son dernier projet se trouve logiquement à l’intersection entre l’Inde et l’arnaque et consiste à ouvrir massivement les USA à l’immigration « qualifiée » du sous-continent indien.
Musk explique que cette invasion venue d’un pays au QI médian de 76 est la seule solution pour faire de l’Amérique un état développé, les Blancs étant trop « idiots ».
La question se résume à ceci : voulez-vous que l’Amérique GAGNE ou voulez-vous que l’Amérique PERDE.
Si vous forcez les meilleurs talents du monde à jouer pour l’autre camp, l’Amérique PERDRA.
Fin de l’histoire.
It comes down to this: do you want America to WIN or do you want America to LOSE.
If you force the world’s best talent to play for the other side, America will LOSE.
End of story.
— Elon Musk (@elonmusk) December 25, 2024
Les hommes blancs ne sont plus embauchés.
Il y a quelques mois, j’ai postulé pour travailler chez X et j’ai indiqué sur mon CV que j’étais à la retraite et que je n’avais pas besoin de salaire.
J’ai beaucoup d’expérience en tant que développeur mobile.
Je n’ai même pas reçu de réponse.
White men aren’t being hired anymore.
A few months ago I applied to work for X and noted on my resume that I was retired and didn’t require any salary.
I have a lot of experience as a mobile developer.
Didn’t even get a response.
— Hugo Vale (@HugoVale_) December 25, 2024
Nous sommes simplement stupides
We’re just dumb
— Elon Musk (@elonmusk) December 26, 2024
Les turbo-capitalistes comme Musk n’ont pour seule patrie que leur compte bancaire et l’Amérique juive leur offre le terrain de chasse dont ces cannibales rêvent. Que l’Amérique devienne à minorité blanche d’ici 20 ans est le dernier de leur soucis.
En définitive, l’influence de ce genre d’oligarques blancs n’est que temporaire car elle repose sur le profit, quelque chose de trop superficiel pour être durable, contrairement aux juifs qui placent les intérêts de leur race au dessus de toutes les autres considérations. Musk investit dans des entreprises là où le juif investit dans la suprématie de sa biologie sur le règne humain.
D’ailleurs cet autiste le sait et ne manque pas de se subordonner à ceux qui détiennent le pouvoir.
Netanyahu n’envoie aucune fusée dans l’espace et ne produit pas davantage de voitures électriques, mais cela ne l’empêche pas de contrôler l’Amérique, Musk inclus.
D’ailleurs, personne ne peut citer une seule contribution notable de Musk à l’économie américaine. Ses voitures explosent et tuent des gens, ses fusées ne servent à rien et Starlink coûte une fortune pour un service redondant qui concerne quelques millions d’utilisateurs dans le monde.
Personne ne peut non plus justifier comment il peut être aussi riche avec une production réelle aussi dérisoire.
La fortune de Musk repose sur la bourse américaine qui est outrageusement saturée de cash émis par la banque centrale américaine.
Toutes ses « entreprises » ne sont que des bulles marketing dont la fonction est d’être le plus visibles possible pour ceux qui veulent placer leurs capitaux sur un indice boursier américain. C’est aussi simple que ça. Le rachat de Twitter lui permet de promouvoir ses scams sans cesse, notamment son scam spatial.
Les « innovations » de ces 25 dernières années dont parlent Musk sont toutes non-essentielles. Si Facebook, Instagram ou Twitter disparaissaient demain, nous mettrions 10 jours à nous y adapter. Air BnB est une catastrophe universelle pour le logement, le smartphone est un portable qui prend des photos (99% de ce dont se servent les gens) et Google Maps est une carte Michelin pour les gens qui n’ont pas le sens de l’orientation.
Les gens aiment s’en servir, mais si ces services disparaissaient leur vie ne changerait pas fondamentalement. En fait, par bien des aspects, elle s’améliorerait. Un monde sans TikTok et sans influenceurs serait indiscutablement un monde meilleur.
Pour évaluer un pays, il faut le faire dans sa globalité.
Lorsque l’on regarde l’état des infrastructures de l’Amérique, on découvre un pays en voie de tiers-mondisation. Près de la moitié de ses routes sont en mauvais état, au moins 10% des ponts devraient être fermés. L’Amérique n’a pas de systèmes de train à grande vitesse alors que la Chine a déjà plus de 40,000 kilomètres de voies ferrées de ce type. Les écoles publiques sont usagées et peuplées de créatures analphabètes venues du monde entier. Le glorieux métro new-yorkais est la vitrine des transports en commun américain.
Quand on évalue son indice de développement humain, c’est encore pire.
Plus de 40% des Américains sont obèses et au moins 20% des adultes sont drogués.
Toutes les capitales des 50 états américains sont à minorité blanche.
Pour un Indien, il n’y a rien là qui puisse le choquer, bien au contraire.
Même les pires recoins de San Francisco font figure de paradis terrestre comparativement à n’importe quel quartier chic de New Delhi.
L’inflation du PIB américain est inversement proportionnelle à une quelconque production économique utile au bien-être de la population.
Économiquement, l’Amérique est une gigantesque pyramide de Ponzi juive maintenue par l’armée américaine grâce à ses bases présentes partout sur terre. C’est grâce à cette menace terroriste permanente tournée contre l’Europe, l’Asie et les zones riches en ressources du monde arabe que cet état tient debout. Sans ce contrôle armé, le dollar ne vaudrait déjà plus que 10% de sa valeur actuelle.
Cette économie de rapine suppose une exploitation féroce de tout ce qui peut l’être. Pour le travailleur blanc américain, cela suppose d’être mis en compétition avec le tiers-monde. Ses usines ont depuis longtemps été envoyées au Mexique et en Chine et il est à présent chassé de tous les postes qui n’ont pas pu être délocalisés au profit d’Indiens qui acceptent toutes les conditions salariales fixées par le capital juif. Cette ressource est d’autant plus miraculeuse aux yeux du peuple élu qu’elle est nombreuse, stupide et corvéable à merci.
Les classes aisées qui vivent de ce cannibalisme peuvent échapper partiellement aux conséquences quotidiennes d’une telle dystopie en mettant des dizaines de kilomètres entre elles et la sous-humanité que produit cette société judéo-brésilienne fondée sur le dollar.
Pour l’homme de la classe moyenne, c’est un luxe presque inaccessible. Il doit accepter de voisiner avec 150 nationalités, toutes farouchement hostiles aux Blancs.
Techniquement, l’Amérique est un continent riche. En pratique, des pays comme l’Autriche ou les Pays Baltes surclassent en qualité de vie cet enfer multiracial.
Musk n’est pas encore satisfait. Avec l’aval des juifs, il veut édifier une tyrannie technologique primitive où le système pourrait contrôler directement le cerveau du bétail non-circoncis et réaliser ainsi le rêve ultime des Sages de Sion. Dans un tel système organisé selon une implacable hiérarchie raciale avec les juifs au sommet de la chaîne alimentaire, la sous-humanité venue des bidonvilles d’Inde représente une main d’oeuvre d’autant plus utile qu’elle vit depuis des millénaires sous le joug d’un système de castes identique. Ces Indiens qui vénèrent des bêtes et des démons formeraient les « docteurs » chargés de surveiller le bétail enchaîné.
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