La Rédaction
Démocratie Participative
04 janvier 2025
C’est inquiétant, il a les positions de Marine Le Pen.
Un résumé :
« J’ai un drapeau tricolore car je suis de nationalité française. L’armée et les pompiers sont utiles! J’aime toutes les religions et je n’aime pas le racisme. La sécurité c’est bien, la justice c’est mieux que l’injustice. Dans la vie on a parfois des problèmes, mais c’est mieux si on en a pas. Le plus important est d’être positif. Il faut accepter les gens différents et les homosexuels. L’avortement, oui! En démocratie, on a le droit de pas être d’accord. »
C’est hilarant, car ce sont exactement les positions du RN de Marine Le Pen. Elles consistent à être d’accord avec la majorité des demeurés qui se contentent de répéter ce que les autres demeurés répètent eux-mêmes.
Ces demeurés sont majoritaires et nous entourent. Ils ne savent pas pourquoi l’avortement est devenu un des piliers de la religion officielle, ni pourquoi les pédés sont devenus une espèce protégée. Ils ne savent pas pourquoi des noirs et des arabes vivent par millions en France depuis 50 ans, mais sont intransigeants sur l’obligation formelle de les aimer. En somme, leur rapport général à leur environnement consiste à aimer la merde que leurs maîtres leur ont mis dans la gamelle sans leur demander leur avis.
Bien entendu, ces mêmes demeurés détestent ces mêmes choses au quotidien : la religion LGBT les répugnent d’instinct, ils tournent de l’oeil quand ils voient une moukère voilée chez Auchan et ils gémissent à propos de l’âge de la retraite qui ne cesse de reculer, faute de gosses.
Les demeurés sont des aliénés et la démocratie est le règne des demeurés – habilement manipulés par les juifs et leurs médias. La démocratie repose sur la loi de la majorité et une majorité de demeurés produira toujours une société médiocre à leur image. Paradoxalement, il n’existe pas de démocratie au sens où une majorité déterminerait souverainement quoi que ce soit. La spécificité d’une démocratie, c’est de laisser une société s’ajuster aux lois de la gravitation. La masse n’a pas d’idéal, ni de volonté, elle n’est qu’un troupeau grégaire et docile qui suit la volonté dictatoriale d’une minorité, pourvu qu’elle flatte ses bas instincts. Les sociétés aryennes s’efforcent de lutter contre cette tendance pour créer des systèmes aristocratiques qui élèvent le niveau général. Le juif au contraire flatte la populace dans ce qu’elle a de plus hideux pour en prendre le contrôle et saccager l’ordre aryen.
C’est l’autre paradoxe de la théologie démocratique : elle prépare naturellement le règne des cliques étrangères. La masse démocratique rejette avec virulence l’idée qu’un de ses membres exerce sur elle une quelconque autorité. Jalouse, elle se dit aussitôt qu’il n’a rien en particulier qu’elle ne possède pas elle-même pour pouvoir exercer sa tyrannie. La démocratie n’est pas l’amour désintéressé de ses semblables, mais au contraire la haine jalouse de son semblable. Elle recherche la neutralisation préventive des éléments supérieurs au profit des médiocres et de leurs satisfactions primitives. Les satrapes étrangers sont ceux qui viennent naturellement remplir cette fonction tyrannique avec l’appui enthousiaste de leurs esclaves autochtones.
Tibo Golmon est parfaitement représentatif du golem malléable qui compose la majorité de la population française et obéit au doigt et à l’oeil de quelques centaines de milliers de juifs. Moyennant son rôle de larbin du terroir modèle, il peut bénéficier de privilèges sociaux et financiers.
Ne devenez pas comme lui.
Ayez du caractère et des nerfs. Les nerfs valent mieux que les muscles.
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