Un rappel salutaire que la gauche doit être physiquement détruite et ses membres persécutés à outrance

La Rédaction
Démocratie Participative
08 janvier 2025

 

Certains, dans nos milieux, ont oublié un peu vite ce qu’est génétiquement la gauche.

Il faudrait rappeler à nos amis et camarades que des scènes de cannibalisme ont éclaté lors de l’exécution de Louis XVI, avec des masses de Sans-Culottes, ancêtres de LFI, se précipitant sur les flaques de sang pour s’en maquiller le visage, les lécher ou les éponger afin d’en faire des breloques, le tout dans une ambiance d’hystérie bestiale.

Tous nos malheurs ne viennent pas des étrangers, loin s’en faut. En fait, ils ne sont que l’instrument d’une haine sourde que vouent à notre race des félons, tantôt de la bourgeoisie la plus installée, tantôt des segments de la marginalité, rongée de nihilisme.

C’est d’ailleurs le ciment du « front républicain » qui a cru devoir renaître lors des législatives de juin dernier.

Ce vilain fragment populacier et braillard pourrit depuis longtemps dans le caniveau français et il y a longtemps qu’il aurait dû être méthodiquement extirpé et exterminé pour qu’il cesse de faire souche.

Hélas, l’idée n’est venue à personne, ou personne n’a su ou pu la mettre en oeuvre. Cette lie parasitaire, qui recrute chez les profs et autres mandarins de l’Égalité, a proliféré en deux siècles, colonisant toujours plus les institutions, jusqu’à faire de la France l’épicentre mondial de la gauche internationale, cette pathologie mentale qui se transmet comme le SIDA.

Elle a transformé le pays en véritable porcherie et s’en pourlèche.

La gauche ne croit qu’à la violence et la seule façon de lui parler est une violence bien plus brutale.

Gagner des élections contre la gauche ne sert à rien si le programme n’est pas de détruire ses membres. Ce n’est pas un problème politique, mais sanitaire. Il faut le traiter comme une maladie virale qui atteint l’organisme au point de le menacer de mort. Pas plus qu’un médecin ne cherche de voie médiane avec un virus, on ne doit en chercher avec la chiennerie de gauche. L’ensemble de ses cadres doivent anéantis, que ce soit physiquement ou par l’expulsion, ou encore la stérilisation.

On ne peut respirer le même air que cette partie pourrie de la population blanche. Sa raison d’être est de tourmenter la race blanche et rendre sa vie intolérable pour qu’elle soit aussi malheureuse qu’elle-même.

Elle porte le malheur et doit être éradiquée.

Les métèques peuvent espérer une expulsion en bon ordre. Les félons de gauche ne peuvent espérer aucune clémence, uniquement un châtiment à la mesure de leur ignoble existence.

Qu’est-ce que le fascisme ? L’application des méthodes révolutionnaires du bolchevisme à la gauche elle-même.

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